L’enlèvement de l’Église
Nous abordons cette fois-ci une branche de la théologie systématique appelée : l’eschatologie.
Christ a promis de revenir et d’enlever avec lui des saints dans la demeure de son Père.
“Que votre cœur ne soit pas troublé ; vous croyez en Dieu, croyez aussi en moi. Dans la maison de mon Père, il y a plusieurs demeures ; s’il en était autrement, je vous l’eusse dit, car je vais vous préparer une place. Et si je m’en vais et que je vous prépare une place, je reviendrai, et je vous prendrai auprès de moi ; afin que là où moi je suis, vous, vous soyez aussi.” (Jean 14/1-3)
Il est d’abord parti pour préparer une place et ensuite, il reviendra pour prendre les croyants et les emmener dans l’endroit qu’il prépare pour eux (il n’a toutefois pas dit quand mais il a dit qu’il le ferait).
En cela, ceux qui seront enlevés ont la consolation dans cette vie et dans ce monde. Paul fait allusion à cet évènement en tant que “notre bienheureuse espérance”.
“Car la grâce de Dieu qui apporte le salut est apparue à tous les hommes, nous enseignant que, reniant l’impiété et les convoitises mondaines, nous vivions dans le présent siècle sobrement, et justement, et pieusement, attendant la bienheureuse espérance et l’apparition de la gloire de notre grand Dieu et Sauveur Jésus Christ, qui s’est donné lui-même pour nous, afin qu’il nous rachetât de toute iniquité et qu’il purifiât pour lui-même un peuple acquis, zélé pour les bonnes œuvres” (Tite 2/11-14)
Cette espérance est différente de la manifestation glorieuse de Christ car il revient premièrement “en privé” pour enlever les chrétiens au ciel et ensuite (environ 7 ans après), il reviendra en gloire avec tous les saints pour régner sur la terre.
Tout cela (notre espérance certaine que Christ revient) doit servir à nous motiver pour vivre sobrement, justement et pieusement.
Elle doit nous motiver à être zélés pour les bonnes œuvres.
L’eschatologie, c’est l’étude des évènements à venir.
Dans ces vérités, il y a une consolation pour ceux qui se trouvent dans les difficultés, une motivation à croître dans la sainteté et à travailler pour le Seigneur.
Le prochain évènement dans le calendrier prophétique de Dieu est l’Enlèvement de l’Eglise.
I – L’Enlèvement et la résurrection du croyant
Il y a 2 passages principaux qui parlent de notre enlèvement (l’un des trois enlèvements généraux dans la Bible) et les deux textes indiquent deux aspects importants de cet évènement.
- L’Enlèvement
” Nous ne voulons pas, frères, que vous soyez dans l’ignorance au sujet de ceux qui dorment, afin que vous ne vous affligiez pas comme les autres qui n’ont point d’espérance. Car, si nous croyons que Jésus est mort et qu’il est ressuscité, croyons aussi que Dieu ramènera par Jésus et avec lui ceux qui sont morts. Voici, en effet, ce que nous vous déclarons d’après la parole du Seigneur : nous les vivants, restés pour l’avènement du Seigneur, nous ne devancerons pas ceux qui sont morts. Car le Seigneur lui-même, à un signal donné, à la voix d’un archange, et au son de la trompette de Dieu, descendra du ciel, et les morts en Christ ressusciteront premièrement. Ensuite, nous les vivants, qui serons restés, nous serons tous ensemble enlevés avec eux sur des nuées, à la rencontre du Seigneur dans les airs, et ainsi nous serons toujours avec le Seigneur. Consolez-vous donc les uns les autres par ces paroles.” (1 Thess 4/13-18)
Comme nous l’avons vu en Jean 14, Christ reviendra un jour prochain pour prendre et enlever les saints, les ravir. Cet évènement sert à nous encourager et nous réconforter quant à ceux qui sont morts en Christ – il y a une bienheureuse espérance. Aujourd’hui, quand un croyant meurt, il va où se trouve Jésus et Jésus prendra toutes ces âmes de croyants morts et les amènera avec Lui quand il reviendra.
Christ reviendra du Ciel avec toutes ces âmes et ressuscitera leurs corps premièrement. Ensuite (et tout cela a lieu en un seul instant), il nous enlèvera, nous serons restés vivants sur la terre.
Notez que Christ ne touche pas la terre : il nous enlèvera “sur les nuées” et nous emmènera au ciel, à la maison de Son Père. A partir de ce moment, nous ne serons jamais plus séparés de Lui.
Cela doit nous encourager, nous motiver et nous donner envie de vivre bien (selon la volonté de Dieu). En outre, si Paul attendait l’enlèvement à son époque (“nous serons enlevés”), combien plus nous, 2 000 ans après ?
- La résurrection
“Voici, je vous dis un mystère: nous ne mourrons pas tous, mais tous nous serons changés, en un instant, en un clin d’œil, à la dernière trompette. La trompette sonnera, et les morts ressusciteront incorruptibles, et nous, nous serons changés. Car il faut que ce corps corruptible revête l’incorruptibilité, et que ce corps mortel revête l’immortalité. Lorsque ce corps corruptible aura revêtu l’incorruptibilité, et que ce corps mortel aura revêtu l’immortalité, alors s’accomplira la parole qui est écrite: La mort a été engloutie dans la victoire. O mort, où est ta victoire ? O mort, où est ton aiguillon ? L’aiguillon de la mort, c’est le péché ; et la puissance du péché, c’est la loi. Mais grâces soient rendues à Dieu, qui nous donne la victoire par notre Seigneur Jésus-Christ ! Ainsi, mes frères bien-aimés, soyez fermes, inébranlables, travaillant de mieux en mieux à l’œuvre du Seigneur, sachant que votre travail ne sera pas vain dans le Seigneur.” (1 Cor 15/51-58)
Lors de l’enlèvement, Dieu changera nos corps – il ressuscitera nos corps. Nous voyons le même ordre : les morts sont premièrement ressuscités et ensuite, nous (à nouveau, notez que Paul attendait l’Enlèvement quand il a écrit cette épître). Christ transformera nos corps : il nous donnera des corps “incorruptibles”. Ce seront des corps qui ne pourront pas se corrompre, qui ne pourront donc pas pécher, qui feront la volonté de Dieu à toujours et avec joie.
Ce jour-là (celui de notre enlèvement et de notre résurrection corporelle) est notre bienheureuse espérance car ce sera le jour de notre dernière victoire. En ce jour-là, le combat s’achèvera !
Tous ceux qui se convertissent à Christ seront ressuscités. “Je suis persuadé que celui qui a commencé en vous cette bonne œuvre la rendra parfaite pour le jour de Jésus-Christ.” (Phil 1/6).
Le jour où Christ se manifestera pour nous enlever, il nous donnera des corps semblables au Sien, des corps glorifiés. “Mais notre cité à nous est dans les cieux, d’où nous attendons aussi comme Sauveur le Seigneur Jésus-Christ, qui transformera le corps de notre humiliation, en le rendant semblable au corps de sa gloire, par le pouvoir qu’il a de s’assujettir toutes choses.” (Phil 3/20-21)
“Voyez quel amour le Père nous a témoigné, pour que nous soyons appelés enfants de Dieu ! Et nous le sommes. Si le monde ne nous connaît pas, c’est qu’il ne l’a pas connu. Bien-aimés, nous sommes maintenant enfants de Dieu, et ce que nous serons n’a pas encore été manifesté ; mais nous savons que, lorsque cela sera manifesté, nous serons semblables à lui, parce que nous le verrons tel qu’il est. Quiconque a cette espérance en lui se purifie, comme lui-même est pur.” (1 Jean 3/1-3)
Cette bienheureuse espérance sert à nous encourager, nous motiver et nous donner envie de vivre bien et de servir le Seigneur dans son œuvre.
Pourquoi ? Pourquoi l’enlèvement doit-il être une motivation principale dans la vie d’un chrétien ? La réponse se trouve dans Apocalypse 19…
“Réjouissons-nous et soyons dans l’allégresse, et donnons-lui gloire ; car les noces de l’agneau sont venues, et son épouse s’est préparée, et il lui a été donné de se revêtir d’un fin lin, éclatant, pur. Car le fin lin, ce sont les œuvres justes des saints. Et l’ange me dit : Ecris : Heureux ceux qui sont appelés au festin de noces de l’agneau ! Et il me dit: Ces paroles sont les véritables paroles de Dieu. Et je tombai à ses pieds pour l’adorer ; mais il me dit: Garde-toi de le faire ! Je suis ton compagnon de service, et celui de tes frères qui ont le témoignage de Jésus. Adore Dieu. — Car le témoignage de Jésus est l’esprit de la prophétie. ¶ Puis je vis le ciel ouvert, et voici, parut un cheval blanc. Celui qui le montait s’appelle Fidèle et Véritable, et il juge et combat avec justice. Ses yeux étaient comme une flamme de feu ; sur sa tête étaient plusieurs diadèmes ; il avait un nom écrit, que personne ne connaît, si ce n’est lui-même ; et il était revêtu d’un vêtement teint de sang. Son nom est la Parole de Dieu. Les armées qui sont dans le ciel le suivaient sur des chevaux blancs, revêtues d’un fin lin, blanc, pur.” (Apoc 19/7-14)
Avant de revenir sur la terre avec Christ lors de sa seconde venue, nous allons célébrer “les noces de l’Agneau”.
Actuellement, nous sommes la “fiancée” de Christ, Sa promise. Bientôt, il reviendra et nous emmènera aux noces pour que nous soyons Son épouse (l’Eglise est l’épouse de Christ car Il a fait une alliance avec elle).
Or, avant les noces, la fiancée doit “se préparer”. En effet, Christ veut une fiancée pure, aussi pure et “blanche” que le lin fin.
“Quant à vous, maris, que chacun de vous aime sa femme comme le Christ a aimé l’Eglise : il a donné sa vie pour elle afin de la rendre digne de Dieu après l’avoir purifiée par sa Parole, comme par le bain nuptial. Il a ainsi voulu se présenter cette Eglise à lui-même, rayonnante de beauté, sans tache, ni ride, ni aucun défaut, mais digne de Dieu et irréprochable.” (Eph 5/25-27)
Le problème est que nous ne sommes pas tous ainsi : “sans tache ni ride semblable”, nous ne sommes tous très “saints” et sans taches.
Par conséquent, après l’enlèvement, “nous nous préparerons” pour les noces au Tribunal de Christ (et là, nous sera ôté toute tache et toute ride).
II – L’Enlèvement nous amène au Tribunal de Christ
- Dieu va juger chaque croyant
“Mais toi, pourquoi juges-tu ton frère ? Ou aussi toi, pourquoi méprises-tu ton frère ? Car nous comparaîtrons tous devant le tribunal de Dieu ” (Rom 14/10)
Ce n’est pas un jugement de nos péchés (pour le salut) car Dieu a déjà tout accompli sur la croix. A la croix, Dieu nous a jugé en tant que pécheurs et en Christ Il nous a pardonnés tous les péchés (et il les a même publiés pour toujours).
- Dieu va juger nos œuvres : il ne va pas nous juger en tant que “serviteurs ou servantes”
“Car il nous faut tous comparaître devant le tribunal de Christ, afin que chacun reçoive selon le bien ou le mal qu’il aura fait, étant dans son corps.” (2 Cor 5/10)
Quand Dieu nous a sauvés, il nous a fait nouveau (nous sommes de nouvelles créatures, selon 2 Cor 5/17) et il nous a fait pour certaines œuvres. “Car nous sommes son ouvrage, ayant été créés en Jésus-Christ pour de bonnes œuvres, que Dieu a préparées d’avance, afin que nous les pratiquions.” (Eph 2/10)
Les œuvres que Dieu veut que nous fassions, Il les a préparées d’avance pour nous. Par ailleurs, quand il nous a fait naître de nouveau, il nous a fait pour ces œuvres. Ainsi donc, il a fait les œuvres pour nous et nous pour les œuvres, tout cela va de pair, c’est le dessein divin.
Christ veut que chaque membre de Son Corps mette en œuvre ses œuvres – son “activité propre” en tant que membre du Corps de Christ. “C’est de lui, et grâce à tous les liens de son assistance, que tout le corps, bien coordonné et formant un solide assemblage, tire son accroissement selon la force qui convient à chacune de ses parties, et s’édifie lui-même dans la charité.” (Eph 4/16)
Accomplissez-vous ce plan de Dieu ? Savez-vous quelle est son œuvre (ou ses œuvres) ? Etes-vous prêt ou vous préparez-vous et êtes-vous disposé à mettre en œuvre votre activité propre pour édifier l’Eglise de Christ ?
Ce sont les œuvres pour lesquelles vous serez jugé au Tribunal de Christ.
Dieu ne va pas nous juger pour notre caractère car Lui-même est celui qui produit le nouveau caractère en nous. “Mais le fruit de l’Esprit, c’est l’amour, la joie, la paix, la patience, la bonté, la bénignité, la fidélité, la douceur, la tempérance ; la loi n’est pas contre ces choses. Ceux qui sont à Jésus-Christ ont crucifié la chair avec ses passions et ses désirs. Si nous vivons par l’Esprit, marchons aussi selon l’Esprit.” (Galates 5/22-25)
Etre comme Christ en caractère est le fruit de l’Esprit car c’est l’œuvre qu’il fait dans le croyant (le croyant ne le fait, pas c’est Dieu).
Ce que Dieu veut de nous est que nous marchions dans les bonnes œuvres qu’il a préparées pour nous (“marcher” et “œuvres” nous parlent de nos actions – ce que nous faisons avec nos corps durant les 24 heures de chaque jour (Rom 12/1).
Dieu va juger ce que vous-même bâtissez au-dessus du fondement de son salut en Christ.
“Car nous sommes ouvriers avec Dieu. Vous êtes le champ de Dieu, l’édifice de Dieu. Selon la grâce de Dieu qui m’a été donnée, j’ai posé le fondement comme un sage architecte, et un autre bâtit dessus. Mais que chacun prenne garde à la manière dont il bâtit dessus. Car personne ne peut poser un autre fondement que celui qui a été posé, savoir Jésus-Christ. Or, si quelqu’un bâtit sur ce fondement avec de l’or, de l’argent, des pierres précieuses, du bois, du foin, du chaume, l’œuvre de chacun sera manifestée ; car le jour la fera connaître, parce qu’elle se révèlera dans le feu, et le feu éprouvera ce qu’est l’œuvre de chacun. Si l’œuvre bâtie par quelqu’un sur le fondement subsiste, il recevra une récompense. Si l’œuvre de quelqu’un est consumée, il perdra sa récompense ; pour lui, il sera sauvé, mais comme au travers du feu.” (1 Cor 3/9-15)
Le fondement est Christ (c’est le salut en Christ) et Die une juge pas le fondement mais l’édifice (les œuvres de quelqu’un après le salut, celui qui a fait après avoir été sauvé).
Nous faisons des œuvres qui vont être brûlées ou nous faisons des œuvres éternelles.
Et Dieu jugera chacune de ces œuvres (bonnes et mauvaises) au Tribunal de Christ.
Les œuvres qui seront brûlées sont les œuvres passagères de la chair et du monde.
Les œuvres qui ne brûlent pas sont les œuvres éternelles – nos “investissements dans l’éternité”.
- L’Enlèvement doit donc être une motivation pour le disciple
Nous serons “cohéritiers avec Christ” (nous recevrons la récompense avec Lui) si tant est que nous souffrons avec Lui maintenant.
” Si nous sommes enfants, nous sommes aussi héritiers : héritiers de Dieu, et cohéritiers de Christ, si toutefois nous souffrons avec lui, afin d’être glorifiés avec lui.” (Rom 8/17)
Jésus-Christ est la Tête du Corps et nous sommes les membres. Faisons-nous ce que la Tête veut ou non ? Participons-nous à ce que la Tête a à la pensée ou faisons-nous ce qui nous semble bon ?
Si nous souffrons avec Christ maintenant (dans l’œuvre qu’Il accomplit), nous règnerons avec Lui par la suite.
“Si nous persévérons, nous régnerons aussi avec lui ; si nous le renions, lui aussi nous reniera ” (2 Tim 2/12)
Or, si nous le renions maintenant (si nous ne voulons pas faire les œuvres qu’Il a préparées d’avance pour nous), Il nous reniera aussi. Il reniera nous héritage à régner avec Lui (la récompense d’être cohéritiers avec Lui quand Il viendra pour établir son royaume sur la terre).
C’est pour cela que notre héritage est aussi une récompense (il dépend de nos œuvres – de faire les œuvres que Dieu veut que nous fassions, les œuvres d’Eph 2/10, l’activité propre d’Ephésiens 4/16).
“Tout ce que vous faites, faites-le de bon cœur, comme pour le Seigneur et non pour des hommes, sachant que vous recevrez du Seigneur l’héritage pour récompense. Servez Christ, le Seigneur.” (Col 3/23-24)
CONCLUSION : Dieu a une récompense pour les fidèles (une récompense qu’il veut donner à ses enfants) mais sachant qu’Il est juste, il doit récompenser justement (selon les œuvres de chacun – selon ce qu’on a fait).
“Ne savez-vous pas que ceux qui courent dans le stade courent tous, mais qu’un seul remporte le prix ? Courez de manière à le remporter. Tous ceux qui combattent s’imposent toute espèce d’abstinences, et ils le font pour obtenir une couronne corruptible ; mais nous, faisons-le pour une couronne incorruptible. Moi donc, je cours, non pas comme à l’aventure ; je frappe, non pas comme battant l’air. Mais je traite durement mon corps et je le tiens assujetti, de peur d’être moi-même rejeté, après avoir prêché aux autres.” (1 Cor 9/24-27)
Nous devons maintenir l’objectif toujours sur le but et vivre pour ce jour où Christ reviendra pour nous, pour nous enlever, nous ressusciter (les corps) et nous emmener au jugement de nos œuvres. Paul vivait ainsi, craignant d’être éliminé au Tribunal de Christ, d’être disqualifié. Ce mot vient du terme grec adokimos (αδοκιμος) et est la forme négative d’un mot qu’on trouve en 2 Timothée 2/ (le préfixe “a-” fait que le mot soit négatif, comme amoral est la forme négative de moral).
“Efforce-toi de te présenter devant Dieu comme un homme éprouvé, un ouvrier qui n’a point à rougir, qui dispense droitement la parole de la vérité.” (2 Tim 2/15)
En 2 Tim 2/15, le mot “approuvé” est le même terme mais de manière positive : dokimos (δοκιμος).
Paul ne voulait pas être éliminé (pas approuvé). Ensuite, il a dit à Timothée comment être approuvé. Quelle en est la leçon ? Si nous ne voulons pas être éliminés (adokimos / αδοκιμος), mais approuvés (dokimos / δοκιμος), nous devons être sérieux dans le bon usage de la Parole de Dieu.
Nous devons la connaître et l’aimer et l’appliquer dans nos vies (faisant ce qu’elle dit). Nous devons investir dans les gens qui en ont besoin : les inconvertis (évangélisation), les croyants (discipulat), les églises (prédication et enseignement) et dans les autres pays (missions). Si nous faisons cela, nous parviendrons au but en aimant la venue de notre Seigneur, pas en la craignant.
” Quant à moi, je suis déjà sur le point d’être offert en sacrifice ; le moment de dire adieu à ce monde est arrivé. J’ai combattu le bon combat, je suis allé jusqu’au bout de la course, j’ai gardé la foi. Et maintenant, le prix de la victoire m’attend : c’est la couronne du salut que le Seigneur, le juste juge, me donnera au jour du Jugement — et pas seulement à moi, mais à tous ceux qui attendent avec amour le moment où il apparaîtra —.” (2 Tim 4/6-8)