L’autorité de Jésus-Christ

Introduction

Le Nouveau testament enseigne l’autorité de Jésus-Christ. Le terme “seigneur”, employé souvent pour faire référence à Christ, signifie “maître”, “directeur” ou “suprême en autorité”. Trois fois dans le Nouveau Testament, il est fait référence à Christ comme “ Roi des rois et Seigneur des seigneurs ” (1Timothée 6/15 ; Apocalypse 17/14 ; 19/16). De très nombreuses déclarations tout au long du Nouveau Testament, en plus de quelques incidents dans les Evangiles, révèlent l’autorité de Christ.

Cependant, tous dans le Nouveau Testament n’ont pas accepté l’autorité de Jésus-Christ. Certains s’y sont opposés ouvertement. Nous verrons que les Pharisiens ont remis en question l’autorité de Jésus et l’ont même discréditée. Mais Jésus a exercé son autorité devant leurs yeux incrédules et les a invités à prendre une décision quant à sa seigneurie.

La seigneurie de Christ est importante aujourd’hui pour notre vie. Il règnera éternellement. Et si nous le connaissons comme notre Seigneur, nous règnerons avec Lui pour l’éternité.

I. Seigneur du jour de repos

Matthieu 12/1,2 : “ En ce temps-là, Jésus traversa des champs de blé un jour de sabbat. Ses disciples, qui avaient faim, se mirent à arracher des épis et à manger. Les pharisiens, voyant cela, lui dirent : Voici, tes disciples font ce qu’il n’est pas permis de faire pendant le sabbat .”

A. Accusation des pharisiens

Tandis que Jésus et ses disciples traversaient un champ de blé le jour du sabbat, les disciples ont arraché des épis” (Matthieu 12/1) et ont commencé à les manger. Quand les Pharisiens ont vu ce que faisaient les disciples, ils les ont accusé de violer le jour du sabbat (v 2).

Pourquoi les Pharisiens pensaient-ils que les disciples violaient le jour du sabbat ?

Les Pharisiens avaient ajouté leur propre interprétation stricte aux lois qui régissaient le jour du sabbat. L’Ancien testament a déclaré que le jour du sabbat était un “ saint jour de repos, le repos consacré à l’Eternel ” (Exode 16/23). Le travail qui était nécessaire, comme la préparation des aliments devait se faire avant le jour du sabbat. Du point de vue des Pharisiens, la conduite des disciples – arracher les épis et frotter le grain entre les mains – était comme récolter le grain. C’était là certains des 39 exemples de travail qui étaient interdits le jour du sabbat.

La conduite des disciples a donné aux Pharisiens l’opportunité d’attaquer Jésus (Matthieu 12/2). Les Pharisiens croyaient qu’ils défendaient la loi, en la suivant au pied de la lettre. Ils ont accusé les disciples de violer Exode 20/10, qui interdisait de travailler le jour du sabbat. Bien que les Pharisiens semblaient être soumis à la loi de Dieu, en réalité, ils ne faisaient pas attention à son enseignement et y substituaient leur propre légalisme.

Comment les croyants commettent-ils aujourd’hui la même erreur que les Pharisiens ?

Jésus a indiqué que tout le monde peut tomber dans la même erreur. En Luc 6/46, il a demandé : “ Pourquoi m’appelez-vous Seigneur, Seigneur ! et ne faites-vous pas ce que je dis ? ” Si nous ne prêtons pas garde au clair enseignement de la Bible et faisons preuve d’un légalisme pharisaïque, nous ne rendons pas honneur à Jésus-Christ ; nous ne servons Jésus que des lèvres et avec des mots.

B. La triple réponse de Christ

Jésus a répondu aux accusations des Pharisiens de trois manières. En premier lieu, il a rappelé aux Pharisiens un incident de la vie de David en 1 Samuel 21/1-6 : “ David se rendit à Nob, vers le sacrificateur Achimélec, qui accourut effrayé au-devant de lui et lui dit : Pourquoi es-tu seul et n’y a-t-il personne avec toi ? David répondit au sacrificateur Achimélec : Le roi m’a donné un ordre et m’a dit : Que personne ne sache rien de l’affaire pour laquelle je t’envoie et de l’ordre que je t’ai donné. J’ai fixé un rendez-vous à mes gens. Maintenant qu’as-tu sous la main ? Donne-moi cinq pains, ou ce qui se trouvera. Le sacrificateur répondit à David : Je n’ai pas de pain ordinaire sous la main, mais il y a du pain consacré ; si du moins tes gens se sont abstenus de femmes ! David répondit au sacrificateur : Nous nous sommes abstenus de femmes depuis trois jours que je suis parti, et tous mes gens sont purs : d’ailleurs, si c’est là un acte profane, il sera certainement aujourd’hui sanctifié par celui qui en sera l’instrument. Alors le sacrificateur lui donna du pain consacré, car il n’y avait là d’autre pain que du pain de proposition, qu’on avait ôté de devant l’Éternel pour le remplacer par du pain chaud au moment où on l’avait pris. “. (Matthieu 12/3-4 : ” Mais Jésus leur répondit : N’avez-vous pas lu ce que fit David, lorsqu’il eut faim, lui et ceux qui étaient avec lui ; comment il entra dans la maison de Dieu, et mangea les pains de proposition, qu’il ne lui était pas permis de manger, non plus qu’à ceux qui étaient avec lui, et qui étaient réservés aux sacrificateurs seuls ? 

Tandis qu’il fuyait Saül, David s’en fut à Nob et demanda à Ahimelec, le sacrificateur, de quoi manger pour lui et ses hommes. L’unique aliment dont disposait Ahimelec était le pain consacré réservé aux sacrificateurs (Lévitique 24/9 : “ Ils appartiendront à Aaron et à ses fils, et ils les mangeront dans un lieu saint ; car ce sera pour eux une chose très sainte, une part des offrandes consumées par le feu devant l’Éternel. C’est une loi perpétuelle “).

Mais en reconnaissant le besoin de David, Ahimelec a donné à David ce pain consacré. Ahimelec a compris que le besoin annulait l’exigence de la loi.

Dans sa réponse aux Pharisiens, Jésus a eu recours à la connaissance qu’ils avaient de la Bible. Nulle part dans la Bible on ne censure David pour avoir mangé le pain consacré. Comme les Ecritures ne condamnent pas David, l’interprétation légaliste de la loi de la part des pharisiens n’est pas fondée sur la Bible.

Jésus semblait aussi vouloir indiquer que, comme les Ecritures n’ont pas condamné David, les Pharisiens non plus ne devaient pas condamner ses disciples. Après tout, quelqu’un de plus grand que David était présent, Jésus-Christ lui-même.

Acte suivant : Jésus a rappelé aux Pharisiens que les sacrificateurs travaillaient le jour du sabbat ;
Matthieu 12/5-6 : “Ou , n’avez-vous pas lu dans la loi que, les jours de sabbat, les sacrificateurs violent le sabbat dans le temple, sans se rendre coupables ? Or, je vous le dis, il y a ici quelque chose de plus grand que le temple “. La loi exigeait qu’ils offrent des sacrifices le jour du sabbat (Nombres 28/9-10 : ” Le jour du sabbat, vous offrirez deux agneaux d’un an sans défaut, et, pour l’offrande, deux dixièmes de fleur de farine pétrie à l’huile, avec la libation. C’est l’holocauste du sabbat, pour chaque sabbat, outre l’holocauste perpétuel et la libation “). Si les sacrificateurs n’étaient pas considérés comme coupables en travaillant le jour du sabbat, Jésus a affirmé : pourquoi faudrait-il censurer ses disciples pour avoir utilisé le jour de sabbat afin de travailler pour Christ ?

L’expression «  il y a ici quelque chose de plus grand que le temple ” (Matthieu 12/6) indiquait que Jésus et le royaume qu’il représentait étaient présents. L’autorité de la loi en relation avec le service du temple donnait aux sacrificateurs la protection tandis qu’ils travaillaient le jour du sabbat.

En outre, les disciples servaient celui qu’annonçait le temple et ses sacrifices.

Enfin, Jésus a illustré son enseignement avec un principe biblique qui apparaît dans Osée 6/6 : “Car j’aime la piété et non les sacrifices, Et la connaissance de Dieu plus que les holocaustes “. Les Pharisiens n’ont pas compris ce principe biblique. Dieu désire un cœur droit plus qu’un rituel correct. Si les Pharisiens avaient eu de la compassion spirituelle et non de la simple cérémonie, ils n’auraient pas condamné des innocents (Matthieu 12/7 : ” Si vous saviez ce que signifie : Je prends plaisir à la miséricorde, et non aux sacrifices, vous n’auriez pas condamné des innocents “.

Jésus a conclu ses trois arguments en en s’appelant lui-même “ Car le Fils de l’homme est maître du sabbat ” (v 8).

Pourquoi Jésus-Christ est-il le Seigneur du sabbat ?

Le terme “Seigneur” signale à quelqu’un qu’il est prédominant en autorité. Les Pharisiens se considéraient comme des autorités quant aux questions qui avaient rapport avec le jour du sabbat.

En tant que Seigneur du jour du sabbat, Jésus-Christ a le droit de décider comment on doit observer le jour du sabbat afin qu’il en résulte le meilleur bien pour l’humanité. Il a aussi le droit de juger ceux qui violent le jour du sabbat. Au lieu de condamner ses disciples, Jésus a condamné les Pharisiens à cause de leur légalisme aveugle et leurs interprétations traditionnelles qui ne distinguaient pas le véritable plan de Dieu pour le jour du sabbat.

Les Pharisiens ont choisi de suivre les traditions humaines et de rejeter l’autorité de Christ. Même aujourd’hui, le danger existe encore d’agir ainsi. Nous devons être vigilant à ne pas substituer une simple religion à notre abandon à Jésus-Christ en tant que Seigneur et une piété extérieure à une bonne relation avec Lui. Rien – pas même le devoir religieux – ne peut prendre la place d’une relation personnelle avec Christ alors qu’il doit être le Seigneur de notre vie.

II. Autorité sur la maladie

Matthieu 12/9-13 : “ Étant parti de là, Jésus entra dans la synagogue. Et voici, il s’y trouvait un homme qui avait la main sèche. Ils demandèrent à Jésus : Est-il permis de faire une guérison les jours de sabbat ? C’était afin de pouvoir l’accuser. Il leur répondit : Lequel d’entre vous, s’il n’a qu’une brebis et qu’elle tombe dans une fosse le jour du sabbat, ne la saisira pour l’en retirer ? Combien un homme ne vaut-il pas plus qu’une brebis ! Il est donc permis de faire du bien les jours de sabbat. Alors il dit à l’homme : Étends ta main. Il l’étendit, et elle devint saine comme l’autre. 

A. Démonstration de l’autorité de Christ

Bien que Jésus était sorti des champs de moisson, il n’avait pas abandonné le débat sur le jour du sabbat. Un jour que Luc a décrit comme “ un autre jour de sabbat ” (6/6), Jésus est entré dans une synagogue pour enseigner. Là, il trouva un homme à la main sèche (Matthieu 12/9). Les scribes et les Pharisiens étaient aussi présents, cherchant une occasion de discréditer Jésus (Luc 6/7) : “ Les scribes et les pharisiens observaient Jésus, pour voir s’il ferait une guérison le jour du sabbat : c’était afin d’avoir sujet de l’accuser ”). Matthieu indiquait que les pharisiens ont posé à Jésus une question qui paraissait théologique : “ Et voici, il s’y trouvait un homme qui avait la main sèche. Ils demandèrent à Jésus : Est-il permis de faire une guérison les jours de sabbat ? C’était afin de pouvoir l’accuser ” (Matthieu 12/10). En réalité, la question occultait leur véritable intention ; ils recherchaient une manière de l’accuser.
Leur question tournait aussi autour de la question de l’autorité. Bien que l’Ancien Testament n’interdisait pas qu’on guérisse le jour du sabbat, les docteurs légalistes de l’époque de Christ considéraient le fait de guérir comme un travail et une violation des restrictions du jour du sabbat. Les Pharisiens et autres légalistes non seulement interprétaient mal les Ecritures, mais ils allaient plus loin qu’elle.

De quelle autre manière pourrions-nous aller plus loin que l’autorité de la Bible dans notre effort pour atteindre la sainteté ?

L’erreur des Pharisiens a toujours cours aujourd’hui. Quand les chrétiens adoptent certaines pratiques ou en évitent d’autres qui ne sont pas interdites expressément ou par principe dans la Bible, ils courent le risque de tomber dans le même piège légaliste que les Pharisiens. Bien que les convictions personnelles soient possibles et soient même louables, nous ne pouvons permettre que nos convictions personnelles deviennent des exigences pour le salut. Quand nous faisons ainsi, nous commettons la très grave erreur de passer au-dessus de l’autorité de Christ et des Ecritures et d’y substituer nos propres croyances.

Jésus a répondu à l’accusation des Pharisiens, en replaçant la compassion au-dessus du légalisme : “ Il leur répondit : Lequel d’entre vous, s’il n’a qu’une brebis et qu’elle tombe dans une fosse le jour du sabbat, ne la saisira pour l’en retirer ? Combien un homme ne vaut-il pas plus qu’une brebis ! Il est donc permis de faire du bien les jours de sabbat. ” (v 11,12). Il a rappelé à ses accusateurs que quiconque sauverait une brebis qui serait tombée dans un fossé le jour du sabbat devrait exercer la même compassion pour un être humain, qui vaut davantage qu’une brebis (v 12). Faire le bien est toujours licite le jour du sabbat.

Jésus n’a pas fait cas de la critique des Pharisiens et il a ordonné à l’homme d’étendre sa main sèche. L’homme a réagi avec foi, a étendu la main et il fut guéri à l’instant (v13).

Les versets 9-13 montrent que Jésus a manifesté son autorité de 2 façons. D’abord, il a manifesté son autorité sur le légalisme. En tant que croyants, nous devons reconnaître le légalisme pour ce qu’il est réellement. A première vue, il semble être un effort admirable de sainteté dans une époque impie. Pourtant, en réalité, le légalisme s’oppose à la grâce de Dieu, en remplaçant la justice véritable par l’effort humain. Mieux vaut s’en remettre à Lui et expérimenter une véritable harmonie avec Dieu.

En second lieu, Jésus a manifesté son autorité sur la maladie. Malgré les objections des guides religieux qui étaient contre Lui, Jésus a guéri l’homme dans la synagogue. Il guérit encore malgré les objections de ceux qui refusent le miraculeux. Par la foi, Jésus est Seigneur sur notre maladie en plus d’être Seigneur de notre vie.

B. Réaction des Pharisiens

On aurait pu s’attendre à ce que les Pharisiens changent d’opinion après avoir été présents lors de la guérison de la main sèche de l’homme, mais Matthieu 12/14 indique que le miracle a seulement endurci davantage l’opposition des Pharisiens à Christ : “ Les pharisiens sortirent, et ils se consultèrent sur les moyens de le faire périr “. Au lieu de se réjouir devant ce miracle, les Pharisiens sont partis et cherchaient comment détruire Jésus.
Bien que Jésus soit sorti de la synagogue, il n’est pas parti sans une foule derrière lui. Le verset 15 dit “ Mais Jésus, l’ayant su, s’éloigna de ce lieu. Une grande foule le suivit. Il guérit tous les malades “.

Cette scène finale dans la synagogue décrit deux manières par lesquelles nous pouvons réagir à l’autorité de Christ. Nous pouvons la refuser comme l’ont fait les pharisiens et nous écarter de Lui ou bien nous pouvons nous soumettre à son autorité et voir les miracles qu’il réalisera par son autorité.

III Autorité sur les démons

Matthieu 12/22-24 : “ Alors on lui amena un démoniaque aveugle et muet, et il le guérit, de sorte que le muet parlait et voyait. Toute la foule étonnée disait : N’est-ce point là le Fils de David ? Les pharisiens, ayant entendu cela, dirent : Cet homme ne chasse les démons que par Béelzébul, prince des démons “.

A. Question d’autorité

En Matthieu 12/22, Jésus a fait face à ses opposants pour la troisième fois. Cette opposition s’est produite après que Jésus a libéré un homme sous l’influence d’un démon. Le démon était à l’origine de deux effets physiques en lui ; la cécité et l’incapacité de parler. Quand Jésus a chassé le démon de l’homme, il fut guéri immédiatement de ces deux afflictions.

Avec raison, le miracle a stupéfié les spectateurs. La question qu’ils se sont posée au verset 23 indiquait qu’ils comprenaient que la puissance de Jésus pour chasser les démons étaient une caractéristique distinctive du “Fils de David”, le Messie promis.

Toutefois, toutes les personnes présentes n’ont pas pris part à l’enthousiasme du peuple. Les Pharisiens, dans leur opposition obstinée à Christ, ont attribué le miracle à “ Béelzébul, le prince des démons ” (v 24).
Il est probable que le nom “Béelzébul” dérivait du nom d’un dieu cananéen. A l’époque du Nouveau testament, il était communément employé pour désigner Satan. L’opposition des Pharisiens était passée à l’extrême. Ils attribuaient au diable la puissance miraculeuse de Christ.

B. L’autorité de Christ

Afin de réagir à l’accusation des Pharisiens selon laquelle il accomplissait des miracles avec la puissance de Satan, Jésus a présenté deux arguments. Premièrement, un argument logique (v 25,26 : “ Comme Jésus connaissait leurs pensées, il leur dit : Tout royaume divisé contre lui-même est dévasté, et toute ville ou maison divisée contre elle-même ne peut subsister. Si Satan chasse Satan, il est divisé contre lui-même ; comment donc son royaume subsistera-t-il ? “). S’il chassait un démon par la puissance de Satan, Satan serait divisé “contre lui-même” et renverserait son royaume (v 26). Le fait que Satan se divise contre lui-même n’aurait aucun sens.

Acte suivant, Jésus a présenté un argument contemporain (v 27,28 : “ Et si moi, je chasse les démons par Béelzébul, vos fils, par qui les chassent-ils ? C’est pourquoi ils seront eux-mêmes vos juges. Mais, si c’est par l’Esprit de Dieu que je chasse les démons, le royaume de Dieu est donc venu vers vous “. En ce temps-là, les Juifs exorcistes chassaient des démons et cela était accepté comme étant une œuvre de Dieu. Pourquoi ne pas aussi accepter que Jésus chasse un démon ?

De quelle manière les croyants ont-ils autorité sur les démons ?

Les Pharisiens s’étaient mis dans une situation dangereuse. Tout au long du ministère de Christ, ils s’étaient opposés à lui. Mais après avoir été présents lors du miracle de libération qu’accompli Christ, leur opposition a pris un tour dangereux lorsqu’ils ont attribué sa puissance à Satan.

Quand nous refusons de nous soumettre à l’autorité de Christ, nous nous écartons davantage de Lui. Si cette attitude rebelle persiste, nous tombons chaque fois plus sous l’influence de l’ennemi.

Conclusion

Les Pharisiens ont refusé d’accepter la seigneurie de Christ. Mais refuser sa seigneurie, c’est refuser le salut qu’il offre. Et le fait de refuser de nous soumettre à son autorité peut nous conduire sur un chemin qui mène à la destruction.